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Un rapport accuse l’espagne et le Maroc d’exploiter les émigrants pour cumuler le soutien européen (vidéo)

Un rapport de l’association marocaine des droits de l’homme a divulgué sur  » le statut de la migration et de l’asile dans la ville du Nador en 2018  » que  » le Maroc et l’Espagne amplifie le nombre d’arrestations pour suggérer qu’ils subissent une forte pression sur les migrants pour qu’ils demandent un financement européen supplémentaire « .

Il présentait par l’association lors d’une conférence de presse à son siège à Rabat, le mercredi 20 mars 2019 prévoyait le transfert de 30 millions d’euros au Maroc sur un total de 140 millions d’euros, le considérant comme un « prix » aux autorités marocaines dans le cadre de sa vaste campagne contre les immigrés .

En accusant les autorités espagnoles d’avoir « exagéré » les chiffres pour obtenir le soutien de l’UE, en citant l’autorisation des autorités espagnoles de 14 000 mineurs le 14 février 2018 lorsqu’elles tentaient de sérialiser le port de la ville, afin de justifier leur demande de fonds européens pour encercler le périmètre de la zone portuaire.

Le rapport montre que l’aide européenne dans le domaine des migrations  » n’est pas suivi avec aucun contrôle, contrairement à toutes les autres aides financières européennes ». L’Union européenne mentionne toujours dans le même rapport , que l’Union européenne donne ces financements sans faire un suivi .

Ce dernier a bien montrer que la zone de Nador restera toujours une zone interdite et fermé pour toutes sortes d’organisations des droits de l’homme et d’activités dans le domaine travailler sur le dossier d’immigration et d’asile .

Le rapport aussi à prévenu, que cette interdiction vise deux but , le premier cacher les graves violations des migrants et des réfugiés , le second caché les vraies statistiques sur le nombre de migrants présents à Nador et le nombre d’arrestations, de déportations et de morts.

Le rapport relie certains des problèmes de la migration des jeunes marocains à  » l’échec du modèle de développement et à l’effondrement rapide du système éducatif « . Il a expliqué que les enfants marocains immigre à l’aide des portes de Nador et Melilla , notant qu’environ 600 d’entre eux étaient à Nador et Beni Ansar leurs âge varie entre 12 et 18 ans après qu’ils ont quitté leurs études.

Le rapport indique qu’en 2018, « les autorités espagnoles ont cherché à se soustraire à leurs engagements en finançant un centre d’accueil pour les mineurs dans les déportés de Melilla « , expliquant qu’après l’intervention de la branche de l’association, ce projet avait été rejeté par le conseil municipal de Beni Ansar lors de sa session du 1er février 2018 ».

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