Politique

Le Maroc n’a de leçon à recevoir de personne (journaliste-écrivain libanais)

Le Maroc n’a de leçon à recevoir de personne, surtout quand il s’agit de la défense de ses intérêts nationaux et de la protection de son peuple, a affirmé le journaliste et écrivain libanais Khairallah Khairallah.

Dans un article publié mercredi par le journal libanais « An-Nahar » sous le titre « Deux événements marocains liés par des constantes », M. Khairallah souligne que le Royaume « n’a aucun problème à s’attacher aux constantes nationales », notant que « loin de la surenchère et de la rhétorique populiste qui ne mène qu’aux gouffres du sous-développement, il y a bien une réalité impossible d’ignorer: le Royaume du Maroc constitue une exception en Afrique du Nord ».

« En moins d’une semaine, le Maroc a vécu deux événements majeurs, à savoir la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara, que le Royaume a récupéré du colonisateur espagnol en 1975, et le discours prononcé par SM le Roi Mohammed VI à l’occasion du 24è anniversaire de son accession au Trône », a-t-il fait observer, relevant que ces deux événements sont « liés par l’attachement aux constantes, le Maroc ayant obtenu la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara sans reculer d’un iota sur sa position quant à la question palestinienne ».

Et d’insister que le Maroc « n’a jamais hésité à soutenir la cause palestinienne, loin des surenchères et des positions inutiles comme le font d’autres ».

« Tous ceux qui cherchent à nuire au Maroc ont un problème avec eux-mêmes, surtout en ce qui concerne ses provinces du sud qui font partie intégrante de son territoire », poursuit l’auteur de l’article, notant que la Fête du Trône de cette année a « montré que le Maroc n’a pas de temps à perdre face aux défis auxquels il est confronté, dans un contexte régional et international complexe ».

« Pas de succès sans sérieux ! et le sérieux a été le mot clé du dernier discours royal, un sérieux qui a prouvé son utilité, en chiffres et non pas dans les slogans creux, et prouvé surtout la capacité du Maroc à poursuivre sa marche en s’appuyant sur la richesse la plus importante dans ce monde: l’Homme », a-t-il conclu.