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Une organisation de défense des droits condamne la campagne algérienne contre des responsables de la sécurité marocains et contacte les Nations Unies

L’Association marocaine pour la citoyenneté et les droits de l’homme a condamné ce qu’elle a décrit comme une campagne trompeuse menée par des individus contre le directeur général de l’Administration générale de la sécurité nationale et de la surveillance du territoire national, Abdelatif Hammouchi, et un haut responsable de la sécurité.

Elle a déclaré que ‘cette campagne a été largement diffusée par une partie des médias algériens liés au renseignement militaire’, soulignant ‘l’absence de tout tribunal dans l’État de Chypre portant le nom du Tribunal international de Nicosie, ce qui confirme la fausseté de cette nouvelle concernant le mandat d’arrêt international pour les responsables et les dirigeants de la sécurité au Maroc’.

Des déclarations d’une femme résidant à Chypre sur sa chaîne YouTube prétendaient que le directeur général de l’Administration générale de la sécurité nationale et de la surveillance du territoire national et un haut responsable de la sécurité ont été condamnés à un an de prison ferme, et qu’ils font l’objet d’un mandat d’arrêt international émis par le Tribunal international de Nicosie.

L’association considère que ‘l’objectif des renseignements algériens et de ceux qui travaillent sous leur tutelle est d’affaiblir l’institution sécuritaire marocaine qui joue un rôle important dans la lutte contre l’extrémisme, le terrorisme et le crime organisé, en particulier après les réformes importantes suivant la constitution de 2011 et la poursuite de son ouverture aux institutions des droits de l’homme et constitutionnelles’.

L’organisation de défense des droits a également exprimé son étonnement quant à l’attribution du titre de ‘défenseure des droits internationaux’ et de conseillère auprès des Nations Unies à la femme qui a lancé ces allégations, affirmant que ces deux titres ne figurent pas dans le système international des droits de l’homme, qui reconnaît seulement le statut de défenseurs des droits de l’homme.

Le communiqué de l’organisation a souligné l’absence du nom de la femme concernée en tant que conseillère au Conseil des droits de l’homme, confirmant que cette femme est éloignée du droit international des droits de l’homme et des institutions des Nations Unies, contrairement à ce qu’elle prétend.

La source a indiqué que ‘plusieurs pratiques menées par cette femme sur sa chaîne relèvent de pratiques criminelles condamnées par les lois de l’Union européenne et des Nations Unies (propos vulgaires, discrimination raciale, haine, menace, allégations de faits incorrects…)’.

L’organisation a révélé qu’elle préparait un rapport détaillé avec tous les documents et qu’elle contactait les autorités judiciaires chypriotes et les institutions des Nations Unies concernées afin de clarifier toute la vérité sur ces allégations malveillantes visant l’appareil de sécurité marocain et la stabilité du Maroc à travers la machine hostile algérienne contre notre pays, selon ses termes.

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