Société

La gare routière de Rabat mise en vente pour 3 millions de dirhams

Une nouvelle affaire ébranle le monde des affaires à Rabat. L’ancienne gare routière, joyau immobilier deviens un terrain de jeu pour les investisseurs, est adjugée à un prix défiant toute concurrence lors d’une vente aux enchères aux contours troubles. Ce bien, stratégique est cédé pour un montant dérisoire de 300 millions de centimes, suscitant l’incompréhension générale.

Une source bien informée affirme au journal ´Al Oâmk fr’ que la date du 24 septembre prochain marque un tournant dans cette saga immobilière. En effet, c’est à cette date que les enchères seront officiellement closes, laissant présager une véritable arlésienne pour les acteurs du marché. Les spéculations vont bon train quant aux raisons de cette braderie immobilière, certains y voyant un complot, d’autres une simple opportunité à saisir.

L’expertise judiciaire, pourtant indispensable pour évaluer la valeur réelle de ce bien, a été étrangement écartée. Cette absence de transparence alimente les rumeurs de collusion entre les différents protagonistes de cette affaire.

Selon les sources, la commune de Rabat, actionnaire majoritaire de la société exploitant la gare routière, se trouve au cœur de cette polémique, aux côtés d’un influent homme d’affaires, propriétaire de concessions automobiles de luxe.

Slaoui Al Haj El Hadi, figure emblématique du monde des affaires marocain, propriétaire de la société Suzimi grinsone et d’une école privée renommée à Rabat, a manifesté un intérêt certain pour ce bien, allant jusqu’à demander la mise en œuvre de la vente aux enchères. Son acquisition à un tel prix interroge sur ses motivations réelles.

D’après nos sources, les milliardaires marocains, chacun cherchant à mettre la main sur ce bien convoité. Pour l’instant, c’est El Hadi Slaoui qui semble avoir le vent en poupe, en l’absence de contestation.

Cette affaire met en lumière les enjeux complexes du marché immobilier marocain, où les intérêts privés se mêlent souvent aux affaires publiques. La vente de l’ancienne gare routière de Rabat pourrait bien constituer une véritable énigme pour les experts du secteur, tant les questions qu’elle soulève sont nombreuses et les réponses incertaines.

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