Monde

Tentative d’assassinat contre la vice-présidente d’Argentine, un acte « très grave qui affecte la démocratie » (Président Alberto Fernandez)

Le président argentin, Alberto Fernandez, a qualifié la tentative d’assassinat contre la vice-présidente, Cristina Kirchner, d’acte « très grave qui affecte la démocratie » dans le pays.

Dans un discours télévisé, le chef de l’Etat a donné quelque détails sur l’attentat à l’arme à feu survenu jeudi soir contre la vice-présidente actuelle, et ancienne présidente du pays (2007-2015), qui a provoqué une grande émotion dans le pays.

Alberto Fernandez a précisé que la tentative d’attentat est survenue peu après 21 heures lorsqu’un homme a tenté d’attenter à la vie de la vice-présidente.

Il s’agit de l’incident « le plus grave qui se soit produit depuis le rétablissement de la démocratie » en Argentine en 1982, a déploré le chef de l’Etat.

L’auteur présumé de la tentative d’assassinat « a pointé une arme à feu vers la tête de la vice-présidente et a appuyé sur la gâchette. Cristina est en vie parce que, pour une raison quelconque, l’arme qui avait 5 balles (dans le chargeur) n’a pas été déclenchée », a raconté Alberto Fernández visiblement très affecté.

« Cet attentat mérite le rejet le plus ferme de tous les acteurs politiques », a ajouté le chef de l’Etat, qui a décrété ce vendredi jour férié dans tout le pays pour que « le peuple argentin puisse s’exprimer, dans la paix et l’harmonie, en faveur de la vie, de la démocratie et de la solidarité avec notre vice-présidente ».

« Nous sommes face à un événement d’une extrême gravité institutionnelle et humaine. Notre vice-présidente a été attaquée et la paix sociale a été troublée », a déploré le chef de l’Etat, qui a appelé à « bannir la violence et la haine des discours politiques et médiatiques ».

Selon les médias argentins, l’auteur présumé de cette tentative d’assassinat est un brésilien de 35 ans résidant légalement en Argentine.

Les images de l’arme pointée vers la tête de la vice-présidente qui prenait un bain de foule devant sa maison ont tourné en boucle pendant toute la soirée de jeudi sur toutes les télévisions du pays.

Les blocs de la majorité et de l’opposition au Congrès ont publié une déclaration conjointe de solidarité avec la vice-présidente, au moment ou des leaders de la région latino-américaine envoyaient des messages de compassion avec le deuxième personnage politique de l’Etat en Argentine.

Cet incident intervient sur fond d’une grande tension qui a suivi le réquisitoire du parquet contre Cristina Kirchner, poursuivie dans une affaire de corruption présumée.

Le procureur général avait requis contre elle 12 ans de prison et une interdiction à vie d’exercer une fonction publique.

RMLe président argentin, Alberto Fernandez, a qualifié la tentative d’assassinat contre la vice-présidente, Cristina Kirchner, d’acte « très grave qui affecte la démocratie » dans le pays.

Dans un discours télévisé, le chef de l’Etat a donné quelque détails sur l’attentat à l’arme à feu survenu jeudi soir contre la vice-présidente actuelle, et ancienne présidente du pays (2007-2015), qui a provoqué une grande émotion dans le pays.

Alberto Fernandez a précisé que la tentative d’attentat est survenue peu après 21 heures lorsqu’un homme a tenté d’attenter à la vie de la vice-présidente.

Il s’agit de l’incident « le plus grave qui se soit produit depuis le rétablissement de la démocratie » en Argentine en 1982, a déploré le chef de l’Etat.

L’auteur présumé de la tentative d’assassinat « a pointé une arme à feu vers la tête de la vice-présidente et a appuyé sur la gâchette. Cristina est en vie parce que, pour une raison quelconque, l’arme qui avait 5 balles (dans le chargeur) n’a pas été déclenchée », a raconté Alberto Fernández visiblement très affecté.

« Cet attentat mérite le rejet le plus ferme de tous les acteurs politiques », a ajouté le chef de l’Etat, qui a décrété ce vendredi jour férié dans tout le pays pour que « le peuple argentin puisse s’exprimer, dans la paix et l’harmonie, en faveur de la vie, de la démocratie et de la solidarité avec notre vice-présidente ».

« Nous sommes face à un événement d’une extrême gravité institutionnelle et humaine. Notre vice-présidente a été attaquée et la paix sociale a été troublée », a déploré le chef de l’Etat, qui a appelé à « bannir la violence et la haine des discours politiques et médiatiques ».

Selon les médias argentins, l’auteur présumé de cette tentative d’assassinat est un brésilien de 35 ans résidant légalement en Argentine.

Les images de l’arme pointée vers la tête de la vice-présidente qui prenait un bain de foule devant sa maison ont tourné en boucle pendant toute la soirée de jeudi sur toutes les télévisions du pays.

Les blocs de la majorité et de l’opposition au Congrès ont publié une déclaration conjointe de solidarité avec la vice-présidente, au moment ou des leaders de la région latino-américaine envoyaient des messages de compassion avec le deuxième personnage politique de l’Etat en Argentine.

Cet incident intervient sur fond d’une grande tension qui a suivi le réquisitoire du parquet contre Cristina Kirchner, poursuivie dans une affaire de corruption présumée.

Le procureur général avait requis contre elle 12 ans de prison et une interdiction à vie d’exercer une fonction publique.

RM

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