Politique

L’intérieur tient une réunion pour expliquer les détails de la décision de céder le secteur de l’eau des entreprises régionales

Après des mois de manifestations à Figuig contre la décision de céder le secteur de l’eau à des entreprises régionales, le ministère de l’Intérieur a tenu une réunion pour expliquer les détails de la décision et dissiper les craintes des résidents, pour la première fois après des mois de manifestations.

Lors de cette réunion qui s’est tenue ce jeudi matin au siège de la préfecture de Figuig à Bouarfa, le ministère de l’Intérieur, en présence du directeur des réseaux publics locaux au ministère de l’Intérieur et du wali de la région de l’Orient, a présenté les grandes lignes de cette décision.

La réunion, à laquelle ont également participé le directeur des réseaux publics locaux au ministère de l’Intérieur, le wali de la région de l’Orient par intérim, le gouverneur de la province de Figuig à Bouarfa, ainsi que des représentants des habitants de Figuig des associations de la société civile, a été consacrée à la discussion des détails et des raisons de la cession de la gestion de l’eau à la société de distribution de l’Est.

Le ministère de l’Intérieur a souligné, lors de la réunion, qu’il n’y aurait pas d’augmentation des tarifs de l’eau, sauf sous conditions fixées par le ministère de l’Intérieur, précisant que la commune ne pourrait pas gérer l’eau dans la situation actuelle.

Le ministère de l’Intérieur a indiqué que la société régionale n’avait aucun lien avec l’eau d’irrigation des palmiers dattiers, soulignant que la société ne gérait que les réseaux de distribution d’eau potable.

Plusieurs points cruciaux ont été abordés lors de la réunion, notamment la faiblesse de l’infrastructure et l’inefficacité de la commune dans la gestion du secteur de l’eau et de l’assainissement, en partie due à une pénurie de ressources humaines qualifiées.

Il a été souligné que l’application du système de tarification arbitraire était illégale et bénéficiait à quelques-uns au détriment des autres, avec la présence de 1208 compteurs arbitraires.

La réunion a également mentionné l’utilisation d’eau potable pour l’irrigation des palmiers dattiers productifs, reflétant les défis majeurs auxquels est confrontée la gestion des ressources en eau dans la région.

Le directeur des réseaux publics locaux a, dans son discours, abordé deux points principaux concernant la dissipation des craintes des habitants concernant l’augmentation des tarifs, affirmant que les tarifs resteraient inchangés sauf sous conditions fixées par le ministère de l’Intérieur et tenant compte de toutes les circonstances, soulignant que l’objectif de la cession n’était pas la privatisation.

Au départ, le conseil communal avait voté contre la décision par 18 voix lors d’une session ordinaire du conseil, avant que le conseil ne revienne sur sa décision après l’appel des membres par le gouverneur de la province, pour voter en faveur de la décision lors d’une session extraordinaire quatre jours plus tard.

Après des mois de manifestations à Figuig contre la décision de céder le secteur de l’eau à des entreprises régionales, le ministère de l’Intérieur a tenu une réunion pour expliquer les détails de la décision et dissiper les craintes des résidents, pour la première fois après des mois de manifestations.

Lors de cette réunion qui s’est tenue ce jeudi matin au siège de la préfecture de Figuig à Bouarfa, le ministère de l’Intérieur, en présence du directeur des réseaux publics locaux au ministère de l’Intérieur et du wali de la région de l’Orient, a présenté les grandes lignes de cette décision.

La réunion, à laquelle ont également participé le directeur des réseaux publics locaux au ministère de l’Intérieur, le wali de la région de l’Orient par intérim, le gouverneur de la province de Figuig à Bouarfa, ainsi que des représentants des habitants de Figuig des associations de la société civile, a été consacrée à la discussion des détails et des raisons de la cession de la gestion de l’eau à la société de distribution de l’Est.

Le ministère de l’Intérieur a souligné, lors de la réunion, qu’il n’y aurait pas d’augmentation des tarifs de l’eau, sauf sous conditions fixées par le ministère de l’Intérieur, précisant que la commune ne pourrait pas gérer l’eau dans la situation actuelle.

Le ministère de l’Intérieur a indiqué que la société régionale n’avait aucun lien avec l’eau d’irrigation des palmiers dattiers, soulignant que la société ne gérait que les réseaux de distribution d’eau potable.

Plusieurs points cruciaux ont été abordés lors de la réunion, notamment la faiblesse de l’infrastructure et l’inefficacité de la commune dans la gestion du secteur de l’eau et de l’assainissement, en partie due à une pénurie de ressources humaines qualifiées.

Il a été souligné que l’application du système de tarification arbitraire était illégale et bénéficiait à quelques-uns au détriment des autres, avec la présence de 1208 compteurs arbitraires.

La réunion a également mentionné l’utilisation d’eau potable pour l’irrigation des palmiers dattiers productifs, reflétant les défis majeurs auxquels est confrontée la gestion des ressources en eau dans la région.

Le directeur des réseaux publics locaux a, dans son discours, abordé deux points principaux concernant la dissipation des craintes des habitants concernant l’augmentation des tarifs, affirmant que les tarifs resteraient inchangés sauf sous conditions fixées par le ministère de l’Intérieur et tenant compte de toutes les circonstances, soulignant que l’objectif de la cession n’était pas la privatisation.

Au départ, le conseil communal avait voté contre la décision par 18 voix lors d’une session ordinaire du conseil, avant que le conseil ne revienne sur sa décision après l’appel des membres par le gouverneur de la province, pour voter en faveur de la décision lors d’une session extraordinaire quatre jours plus tard.

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